J’avais 13 ans en 1958 lorsque PELÉ s’est révélé en Coupe du Monde en suède, à 16 ans. Un phénomène déjà destiné à pouvoir changer sur le terrain le cours de chaque match auquel il participait.
Trois coupes du monde à son actif avec le Brésil, il a mené ce pays au plus haut. Depuis, seulement deux Coupes du monde sont venues compléter les étoiles du Brésil.
Il n’aura pas vu son pays, éliminé bêtement par la Croatie au penalties, tenter d’ajouter une sixième étoile à son palmarès.
Depuis longtemps il est devenu une légende de ce sport. On pouvait mettre en doute son nombre des Mille Buts, mais c’était probablement vrais, quand on le compare au nombre de buts atteint par Christiano RONALDO et Léo MESSI deux joueurs phénoménaux des dix dernières années.
Bref, il s’est éteint hier avec en tête les dernières images d’une coupe du monde qu’il aura marqué d’une manière indélébile.
Lorsque je jouais à Nice, je lui ai serré la main à Cannes, où il était venu pour sa participation à ce fameux match de foot en 14/18 entre Français et Allemand. J’ai pu lui dire combien je l’admirais et sentir une homme bon. Toujours prêt à défendre la cause du beau Foot.
Il laisse un vide dans mon cœur comme vraisemblablement dans le cœur de millions de brésiliens et d’humains de tous les Pays.
JMG